Faire l’amour est devenu sans importance récemment pour mon mari. Loïc a commencé passer des heures à enfoncer sa tête dans les graphiques et les fichiers au lieu de ma chatte avide. Je passe de nombreuses soirées à me masturber avec mon index solidement plantés dans ma chatte. Notre vie sexuelle était réduite à un rapide baisé sur la joue. La société pour laquelle Loïc travailler lui envoyait à travers la France. Alors qu’il était absent j’avais fait la promesse de faire ce que je voulais pour me satisfaire. Ma sœur a offert de prendre les garçons pour le week-end, ainsi je pourrais faire le tatouage qu’elle m’avait offert quelque mois de cela pour mon anniversaire.
Je me suis arrêté devant le studio. J’ai attrapé le bouton de cuivre et poussé lentement la porte. À l’intérieur, la première chose que j’ai vue était la silhouette d’un homme confortablement installé dans un grand fauteuil. À cheval sur ses genoux et en face de lui était une rouquine dans un short en jean très serré affichant les joues rondes et de son cul. Elle rejeta la tête en arrière et je pouvais clairement voir sa poitrine, dans sa bouche. Ses yeux sombres se précipitèrent vers la porte où je me trouvais. Elle s’était tournée vers moi et m’a donné un sourire diabolique. Elle était toujours torse nu. Je ne pouvais pas m’empêcher de remarquer le reflet de l’acier et se rendit compte qu’elle portait des bagues mamelon. Les mamelons étaient durs, ériger et d’une façon ou d’invitation, je pouvais sentir mon visage rougir avec l’embarras.
Comme elle remit son haut J’admirais ses seins amples et la façon dont elle avait l’air m’a fait chaud, je sentais des picotements dans ma chatte. Jean baptiste, le tatoueur, en passant boutonné à la volée sur son jean et se tourna vers le banc de travail derrière lui. “Hey bébé, montre la petite dame mon portefeuille pendant que je fini l’installation.” Sa copine et moi, étions installés dans un canapé noir, feuilletant le portefeuille. La fraîcheur du cuir m’a détendue car je me sentais un endroit humide grandir dans ma culotte de dentelle. J’ai traversé mes jambes pour cacher les preuves de mon excitation alors qu’elle a souligné ses tatouages préféré dans l’album. Ses longues boucles brossé mon visage quand elle arriva sur moi pour récupérer un autre portefeuille. J’ai décidé d’avoir une rose sur ma cheville. Elle bavardait joyeusement comme je prenais place dans l’atelier de son petit ami.
Je pouvais entendre le bourdonnement tourbillonnant du pistolet de tatouage et pouvait voir l’encre dans la chair de ma cheville. Au moment où Jean baptiste termina le tatouage, elle se pencha et chuchota à son oreille d et elle me fit signe de la suivre dans l’autre pièce. ” Laissez-moi vous montrer quelques-unes de mes œuvres, ma spécialité c’est le métal, “m’a-t-elle dit. La chambre sentait le patchouli. Il y avait des bougies partout et une grande armoire en chêne sculpté.
Nous avons parlé de l’art de percer la chair et combien elle aimait administrer de la douleur insupportable. Elle m’a raconté l’histoire du jeune homme mignon qui a visité le magasin environ une semaine avant. Il a voulu marquer son corps d’une manière très différente que la plupart. Tous ses copains avaient des tatouages et il a lu quelque part qu’il pouvait percer sa bite. J’étais totalement pris dans l’histoire et ne pouvait imaginer ce que Loïc dirais à propos de telle chose quand, soudain, elle prit ma main. Elle souleva le devant de son haut. “Allez-y toucher. ” Sa demande m’a laissé perplexe brièvement, après tout, son petit était juste à l’extérieur du rideau.
Elle continua de me dire que personne ne venait dans son salon de piercing, sauf si elle les a invités. Nos regards se rencontrèrent. Elle se déplaça vers moi déboutonna ma chemise, révélant mon soutien-gorge en dentelle. Tirant vers le haut, elle saisit chacun de mes mamelons. “Permettez-moi de percer ces seins magnifiques et vous découvrirez le plaisir intense.” Je ne pouvais pas imaginer mettre les aiguilles à travers eux. Elle a déménagé sa langue, chaud humide autour de chaque trayon, comme j’ai essayé d’étouffer les sons provenant du plus profond de moi. “Voyez, la douleur peut aussi vous offrir le plaisir incroyable”. Lentement, elle a glissé sa main sur le devant de mon short.
Ma petite culotte était solidement engagée dans la fente de mon ventre, j’étais trempé. Elle embrassé mon estomac et me lécha le nombril comme elle me guidait vers le bas et sur le tapis en coton lourd sur le plancher. Je tortillais pour l’aider à me sortir de tous mes vêtements. Elle me voulait et je voulais qu’elle me veuille encore plus. Mon cœur battait comme je serais le tapis sous moi incapable d’endiguer mon désir plus longtemps. Je n’étais pas rasé alors elle écarta les touffes de boucles et a rapidement trouvé mon clitoris douloureux. Elle a grignoté mon clitoris l’envoi des impulsions intenses à travers mon corps tremblant. Bientôt, j’ai eu un de ses doigts intensément planté dans mon cul. Elle continuait à sucer mon clitoris et dans le même temps baisait mon cul, me faisant rosser dans les spasmes d’extase encore et encore.
Elle était au-dessus de moi, et je la regardais décompresser son short en jean, le laissant tomber au sol. Mes yeux étaient grands comme elle répandit ses jambes au large. Elle sourit en glissant sa main vers sa rose, et j’ai pris son clitoris dans ma bouche. Mon entrejambe battait et je me sentais légère. Elle posa sur le plancher à côté de moi et d’orienter délibérément ma main vers sa douce motte rasée. J’ai senti les signes nappe de son excitation. Je me suis penché sur elle et mon pouce trouva son clitoris ornés. Je levai les yeux et la vit jeter la tête en arrière comme elle se mordit les lèvres.