J’ai longtemps pensé que pour que j’accepte de coucher avec un homme, il fallait que j’en sois terriblement amoureuse. Ayant une carrière d’avocate, je n’aurais jamais cru un seul instant que le sexe allait être le moteur de ma vie. Et ce n’est surtout pas la fleuriste d’à côté qui me dira le contraire.
Cela faisait des mois que je guettais le fleuriste qui travaillait en face de mon appartement. Moi, qui n’aimait pas tant les fleurs, avait fini par tomber pour celui qui les cultivait. Un beau jour, sur un coup de tête, je décidai de m’être de côté mes préjugés sur autrui et de me jeter tête baissée et mamelons durcis dans le magasin de mon beau jardinier. Il m’accueillit avec un sourire comme aucun homme jusqu’alors ne m’en avait fait. Le concerné me demanda que était le but de ma visite chez lui. Je précisais, sur un ton ironique et hautain que dans un magasin de fleurs on ne pouvait que trouver que des fleurs. Et c’est à ce moment si que la fleuriste en question mit la clef à sa porte d’entrée en m’avouant qu’il savait très bien que je le guettais depuis le haut de mon balcon et que lui aussi en faisait de même depuis sa vitrine. Je souriais du coin des lèvres, me disant que la tâche serait à présent plus facile et que les présentations étaient déjà faites. Il m’emmena à l’arrière de sa boutique, là où sont stockées toutes les fleurs. Il prit des marguerites, des lilas et divers autres variétés pour en faire un lit tout doux. Il me saisit ensuite la main et me fit m’installer sur ce bouquet de fleurs géant à même le sol. Il m’enleva mon tailleur et ouvra sa braguette. Sans rechigner, je lui donnais un bon coup de main, tout en me servant de mes fesses, de ma langue, et de mes seins en forme d’abricots. J’étais toute contente de le voir gémir sous le poids de mes caresses. Une caresse en entrainant une autre, il m’enleva mon soutif et se mit à jouer avec mes seins, il s’attardait sur mes mamelons et prenait un grand plaisir à les mordiller. Et il s’y prenait parfaitement bien. J’étais toute trempé, mon vagin lui, était toute ouverte et attendait patiemment que quelque chose le pénètre. Il inséra ainsi, après ma demande, son organe tout lubrifié dans ma chatte poilue. Je ressentis pendant les 30 minutes qu’ont duré cette pénétration un bien fou. J’avais déjà eu plusieurs orgasmes mais pas comme celui la. La fleuriste, ma fleuriste m’avait projeté dans un tout autre monde que celui des Palais de Justice. Et pour cause, face à lui, j’étais comme un bouton de rose en plein épanouissement.